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« Heureux qui a pu connaître les causes des choses et qui a mis sous ses pieds toutes les craintes, et l’inexorable destin, et le bruit de l’avare Achéron ! » – Virgile, Géorgiques, livre II, v. 490–493.- Elle est suivie de deux vers dont la pensée religieuse anti-lucrétienne s’oppose à l’épicurisme : « Mais fortuné aussi celui qui connaît les dieux champêtres, et Pan, et le vieux Silvain, et les Nymphes sœurs ! – Virgile, Géorgiques, livre II, v. 494–495. » – https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Felix_qui_potuit_rerum_cognoscere_causas –