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« … Alors prétendre inconsidérément livrer les Secrets des Connaissances acquises (ou de la Connaissance… ce qui est pire !) alors qu’on ne Maîtrise pas soi-même tous les enchaînements, les limites et les Contraintes, c’est jouer les apprentis Sorciers et risquer les chocs en retour. Le Péché d’Orgueil et de Fatuité n’a pas sa place dans le parcours Maçonnique, au risque de perdre le Maçon lui même et la Maçonnerie. » – P14 -La Per∴ Lan∴- Ori∴ Mon∴ – Guy∴ MAR∴ – « Réflexions sur les serments du XIV° » – 6013 –
« Ce n’est pas l’idée de progrès que rejette Baudelaire mais la conception, née de la «fatuité moderne», d’un progrès général, quasi automatique, objet d’une sorte de messianisme et qui, ajoute-t-il « a déchargé chacun de son devoir, délivré toute âme de sa responsabilité ». C’est donc par exigence et non par pessimisme qu’il prononce ce réquisitoire, précisant d’ailleurs qu’il ne peut y avoir de progrès véritable que dans l’individu. Quant à son rejet de la morale en poésie, il ne l’incite pas à rejoindre les partisans de l’art pour l’art. Ce qu’il proclame au contraire, et de toutes ces forces, c’est la nécessité d’un «art par … aspiration humaine vers une beauté supérieure.» – Jean Claude Bousquet- Préface du livre « Charles Baudelaire, un Frère en idéal », un dialogue imaginaire entre le Poète et un Grand Initié. – Fabrice GLOCKNER 1998 – Citation Fraternité Languedocienne n° 73 – Page 27 – Septembre – 2025 –