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Solide

« Ce désir peut s’exprimer par deux mots simples : faim et soif. Manger nous renvoie au solide à ce qui demeure, à la construction, à la pierre. Il correspond en hébreu à « acal » qui s’écrit avec la lettre aleph qui nous renvoie au créateur. Ce « Acal » a comme autre signification le « TOUT ». Manger implique donc de rentrer en communion avec le créateur, le père et tout ce qu’il a créé. Boire quant à lui nous renvoie au liquide, à l’eau, à l’énergie qui circule et vivifie par la lumière et l’amour. Nous retrouvons ici la substance et l’essence, le stable et le circulant, entre la matrice qui accueille et nourri et la semence qui féconde, transmet et informe. » – SC∴ C47 – Val∴ Mar∴ – Joa∴ MAR∴ –  » Mangez et donnez à mangez … » – 6023 –

« Étymologiquement, sublime vient du latin « Sub liminus », haut, suspendu en l’air, élévation en pente. La sublimation est une opération chimique qui permet à un élément de passer de l’état solide à l’état gazeux. » – « Ordo Ab Chao » – N°88 – Page.256 -Juin 2024- « L’aspect initiatique de la Titulature du 5° au 12° degré » – Francis Car∴ –

Shekina (Prononcer Shérhina  « rh » guttural idem Jota espagnole – Note Dan∴ PAR∴) –

« On attribue à Xénocrate la division de la philosophie en logique, physique et morale ou éthique comme Speusippe, c’est un Platonicien Pythagorisant, qui s’appuie surtout sur l’enseignement oral de Platon ; il distingue trois sortes d’essences, auxquelles il fait correspondre trois types de connaissances :

Il pose deux principes, l’un et la Dyade, irréductibles. Dieu est la Monade, l’Âme du monde est la Dyade. A la différence de Speusippe, qui remplaça les idées par les nombres mathématiques, Xénocrate les assimila aux nombres : les idées sont les nombres ; alors que Speusippe refusait de voir le bien dans l’un (Comme Platon) parce que cela aurait obligé à voir le mal dans le multiple, Xénocrate pense que tous les êtres, dans la mesure ils participent de l’un et du multiple, ont quelque chose à voir avec le mal. Le premier parmi les Platoniciens, il fait correspondre la ligne à deux (La Dyade), comme Speusippe faisait correspondre le point à un. Pour Platon, le principe formel des grandeurs est la ligne insécable, pour Speusippe c’est le point, pour Xénocrate, ce sont les nombres mêmes : la Dyade pour les longueurs, la Triade pour les surfaces, la Tétrade pour les solides.  » – https://fr.wikipedia.org/wiki/x%c3%a9nocrate

 

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