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« Ce voyage intérieur vécu dans la perception du meurtre d’Abiram sur Hiram Abi, représente bien cette dimension réflexive sur nos actions en lien avec notre pensée. Au fond de notre démarche cette « veille » qui est en nous et qui nous éclaire pour peu que l’on soit dans l’acceptation de nos mouvances à l’image des remous de l’eau élément symbole de notre âme en transit et de cette connexion avec le divin, cette Foi et cette force de l’espérance qui nous amènent à pardonner à nous pardonner pour nous élever. À l’image des vertus cardinales, prudence, justice, force et tempérance, nous naviguons empreints de ces vertus dans les méandres de notre ego et ambition déréglée « Akyrop » l’un des meurtriers, et Abiram la contraction d’Hiram Abi face à notre miroir, diversification dans le « Un le Tout ». L’intuition libérée par la Foi au G∴A∴D∴L∴U∴ , principe créateur et l’espérance force théologale nous transmettent la capacité de nous élever en toute confiance et librement dans la charité envers nous-mêmes et donc envers les autres FF. En une phrase, je dirai : notre voyage intérieur dans la caverne de nos vérités s’alignent en permanence avec notre profonde intuition, anima, souffle vital afin de nous élever dans la lumière et donc vérité commune, celle de la connaissance, grâce au pardon réflexif de notre diversification dans « Un le Tout ». » – P175 – Per∴ Occ∴ – Ori∴ Bez∴ – Phi∴ PEN∴ – Précisions et compléments suite «La caverne et les objets symbolique au 9e degré» – 6025 –
