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« …Figuration archétypale d’un isthme – le Barzarkh bien connu de la mystique musulmane – qui représente à la fois une séparation mais aussi un lien entre deux choses voisines qui s’interpénètrent. Il détermine un espace entre le monde d’ici-bas et le monde d’en haut ; il est un passage et une barrière […] comparable à celle qui sépare le Samsara – le cycle des réintégrations – et le Moksha – la libération et la sortie du cycle précédent – dans l’Hindouisme ; il est le temps qui sépare la mort de la résurrection en islam. » – « Ordo Ab Chao » – N°84 – Page. 242 – Mars 2022 – Sup. 18° – « Un bestiaire des degrés capitulaires » – « l’aigle au 18° degré » – Jean-Michel CRO∴ –
« Le Samsara (monde du devenir). – C’est l’immersion dans ces quatre couples d’opposés – Plaisir / Douleur, Perte / Gain, Gloire / Honte, Louanges / Reproches – qui nous maintient englué dans la Souffrance du Samsara. – Chödrön Pema (Deirdre Blomfield-Brown) –
Le Theravada réserve l’accès de la Buddhi et du Nirvana aux seuls Religieux, les Laïcs devant acquérir suffisamment de mérites dans leurs Vies successives avant d’espérer échapper au Samsara (Cycle « Infernal » des Réincarnations). » – http://lalitavistara.free.fr/Buddhism/Buddhism_Intro/The_Vehicles.htm –
Voir : Arhat – Bodhisattva – Nirvana –