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« Si l’Arlequin s’est développé dans la Commedia dell’arte en Occident, Idries Shah a argumenté que ses Origines seraient avant tout Soufies. Les Maîtres Soufis classiques étaient en effet Connus pour porter une Robe rapiécée cousue à partir d’Étoffes de Différentes Couleurs dès le XIe Siècle. Shah écrit que le Mot « Arlequin » serait Issu de l’Arabe « aghlaq » — le Nom alors Donné à ces Maîtres qui Enseignaient par l’Humour et la Dérision — dont le pluriel est « aghlaquin’ », prononcé gutturalement comme la jota espagnole soit « ajlaquin », qui aurait donné le Nom « Arlequin». Shah défend cependant que l’Enseignement de la Sagesse par l’Humour, un des traits du Personnage d’Arlequin, est une Constante de la Sagesse Universelle. » – http://fr.wikipedia.org/wiki/Arlequin –
« Une des plus intéressantes peintures de cette période est sans doute le Carnaval d’Arlequin (1925). […] Cette peinture est considérée comme étant l’apogée de la période Surréaliste de Joan Miró. Réalisée de 1924 à 1925, le Maître l’exécute à une époque de sa Vie économiquement difficile […] dans « une Forme de Transe ressemblant à ce que ressentent les Orientaux » – Joan Miró –
« Les Personnages Principaux de la composition picturale sont un Automate Qui Joue de la Guitare et un Arlequin avec de grandes Moustaches. On note également de nombreux détails d’Imagination répartis sur toute la toile : un Oiseau aux Ailes Bleues sorties d’un Œuf, un couple de Chats Jouant avec une pelote de laine, un Poisson volant, un insecte qui sort d’un Dé, une Echelle avec une grande Oreille, et, sur la Partie Supérieure Droite, on voit au travers d’une Fenêtre une Forme Conique supposée Représenter la Tour Eiffel. – En 1938, Miró écrit un petit texte Poétique sur cette toile : « Les Echeveaux de Fils défaits par les Chats Vêtus en Arlequin s’enroulent et en Poignardant mes Entrailles… » ». – http://fr.wikipedia.org/wiki/Joan_Mir%C3%B3 –