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» N’est-ce pas une confiance, une promesse des rituels en notre Capax Déi à atteindre le sommet, la Libération… à condition que nous ne nous attardions pas sur les « Sentiers Fleuris » (Projections égotiques rassurantes… monde) ? Si c’est le cas et sachant que la montagne est le symbole de l’égo, le « moi » ( multiple, dualiste, mondain, chtonien… enflure de notre Humanité, vision restrictive du Tout) et qu’il faut le dépasser, le dominer, le dissoudre (Salvé régina = dissoudre la reine… l’Âme dans l’Être, assister au épousailles, faire Un et Tout) quelle est notre partie intime que l’on doit retrouver et qui permet de re-passer à l’Homme que Dieu à fait à son Image donc originellement « Parfait » ? Que doit-on retirer pour « la » retrouver en cet état édénique de naissance, cette Gnose, cette « Con-Naissance », « AVEC la naissance » ? Puis peut-être l’inconnaissance du Pseudo-Denys ou l’essence du poème de Saint Jean de la Croix : « Ce savoir qui ne sait pas, ou la Connaissance Transcendantale » « Coplas sobre un extasis de alta contemplacion » – Télécharger : coplas –
Voir – Crainte – Gravir – Mort – Montagne aux pentes abruptes – Sentiers Fleuris – Sommet – Marie – Schalom – Cérémonie du Thé –