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« Mais la croyance en Dieu prend des formes très diverses. Le polythéisme, croyance en des dieux multiples, projette en des dieux distincts certains types d’activités ou certaines fonctions : dieux de l’amour, de la guerre, de la justice, des labours, etc. Le panthéisme considère que tout est Dieu : les choses terrestres sont les manifestations éphémères d’une unique réalité. A l’inverse du polythéisme, le monothéisme est l’affirmation de l’existence d’un Dieu unique, créateur de l’univers. » – « L’Universalisme du Rite Ecossais Ancien et Accepté » – Hubert Greven – Souverain Grand Commandeur –
« De ce qui précède, il résulte encore que la métaphysique est sans aucun rapport avec toutes les conceptions telles que l’idéalisme, le panthéisme, le spiritualisme, le matérialisme, qui portent précisément le caractère systématique de la pensée philosophique occidentale… »- René Guénon – « INTRODUCTION GENERALE A L’ETUDE DES DOCTRINES HINDOUES – Pensée métaphysique et pensée philosophique » – P.948 – « tout-guenon-et-tuto » – Télécharger : rene-guenon-tout guénon-v2 –
« D’où les limites de Spinoza, Panthéiste… Métaphysique partielle ou inexistante au même titre que Aristote et leurs successeurs à tous deux. » – Note Rémi ALCINA – Télécharger : rene-guenon-Spinoza dans tout guenon – rene-guenon-tout guénon-v2 –
« Doctrine suivant laquelle Dieu se confond avec l’univers : Représentants du Panthéisme : Stoïciens, Giordano Bruno, Spinoza, les philosophes Romantiques. « – Savoir encyclopédie international p.2559.- Jean Giono – http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Giono –
« Chez Giono, la nature est belle, mais elle est aussi cruelle, destructrice et purificatrice : l’Homme en fait partie, mais elle n’est pas l’Homme. Ainsi, dans Le Hussard sur le toit (1951), la nature se manifeste par le choléra qui dévaste la Provence et tue aveuglément sans se soucier des préoccupations politiques qui agitent les hommes. (On retrouve du reste cette conception de la nature, particulièrement absente des idées de cette époque, dans un texte contemporain d’Albert Camus, intitulé L’exil d’Hélène). –
« En septembre 1785 Friedrich Heinrich Jacobi fit paraître Lettres à Moses Mendelssohn sur la Philosophie de Spinoza . Il Révélait qu’au cours d’une conversation de juillet (?) 1780 avec Lessing, celui-ci lui avait déclaré : « Έν καì Πãν [Hen kai pân : Un et Tout] : je ne sais rien d’autre. (…) Il n’y a pas d’autre Philosophie que la Philosophie de Spinoza. » Jacobi, lui, s’opposait au Spinozisme, qui tient la Liberté pour une Illusion, et qui, surtout, selon lui, aboutit à l’Athéisme, comme, d’ailleurs, le Rationalisme. Les positions étaient prises : Aufklärung (la Philosophie des Lumières, Rationaliste, représentée jusqu’alors par Lessing) contre Schwärmerei (Irrationalisme, Illuminisme attribués prestement à Jacobi). Ainsi naissait la querelle du Panthéisme, qui dura de 1785 à 1815 au moins. Moses Mendelssohn découvrait que Lessing, son Maître et Ami, figure des Lumières, adhérait au Spinozisme, donc, potentiellement au Panthéisme, et, de Là, à l’Athéisme. – http://fr.wikipedia.org/wiki/Gotthold_Ephraim_Lessing – Attention à ne pas confondre Un et Tout avec Un le Tout, Tout est Un. – Note Rémi ALCINA – Télécharger : Ellâm-Onru-orig-r-dim