∴
«Gide : “Si Guénon a raison, eh bien, toute mon œuvre tombe…”. A quoi quelqu’un lui répondit : “Mais alors, d’autres tombent avec elle, et non des moindres, celle de Montaigne, par exemple…” […] Gide réfléchissait […] Enfin, ému, il avoua la raison de son inquiétude : “Je n’ai rien, absolument rien à objecter à ce que Guénon a écrit. C’est irréfutable.” Comme aucun de nous ne se jugeait en mesure de réfuter ce que Gide lui-même venait de déclarer irréfutable, on se taisait. L’aveu inattendu était d’une telle importance qu’il ne pouvait être suivi que d’un silence approbatif dont, cependant, nul de nous n’attendait qu’il annonçât une déclaration de ralliement à la doctrine de Guénon. En effet, Gide dit : “Les jeux sont faits, je suis trop vieux.” ».
« Le symbole Amazigh «Yaz» est la dernière lettre de l’alphabet berbère, ce qui correspond à notre «Z». Il est notamment présent sur le drapeau Amazigh : signifiant «homme libre», il est le signe de ralliement de la cause berbère ; il représente la langue et la culture Amazigh. Composé de deux arcs de cercle reliés par une ligne verticale, Yaz exprime un lien ou une correspondance. On peut y voir un arbre, un homme qui danse ou tout simplement un homme debout : le berbère mais aussi l’homme réalisé. » – https://www.jepense.org/symbole-amazigh-yaz/ –