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« Le premier sens de Monachos, est «Célibataire » ou «Continent ». Le vocable s’applique à l’homme qui renonce au mariage, source de divisions et cause de partage. Le «moine » peut et doit être entièrement à Dieu. Or, rien de tel ne se trouve chez Philon. D’où la nécessité de limiter l’influence directe de cet auteur sur la formation de l’idéal monastique. Cet idéal prolonge pour une part les tendances de la philosophie hellénistique de la « séparation d’avec le monde » (Anachôrêsis) et de la «Paix » (Hésychia), tendances dont Philon demeure néanmoins un témoin de prix. Il faut voir plus haut, jusque vers les sages de l’Égypte ancienne, et plus large, vers l’héritage chrétien du judaïsme fortement hellénisé. Le relais philonien n’est que littéraire. Il demeure somme toute un témoin bien plus qu’une source. – http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/les_therapeutes__de_l_ideal_contemplatif_des_fils_d_israel_dans_l_egypte_du_ier_siecle.asp – Lien d’origine pouvant ne plus être plus accessible suivant aléas du WEB ! – Note Rémi ALCINA –
« La parole perdue n’est-elle pas , l’ensemble des vocables, expressions, Actions/Non-actions, qui caractérisent « l’Homme libre, le Libéré vivant »… des mots lumineux et en vérité, des Actions/Non actions justes et éclairantes qui synthétisent le message et nous relient à la pensée Traditionnelle en éclairant la notre, dans un langage des oiseaux précis et concis ? – RL∴ 813 FF∴ Libres – Ori∴ Bez∴ – Remi ALCINA et FF∴ Discussion entre des Maî∴ et deux App∴- 6015 –