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Robe sans couture

« …En somme, l’idée générale qui s’en dégage pourrait être formulée ainsi : sans prétendre aucunement nier ou supprimer les différences et les particularités nationales, dont il faut au contraire, en dépit de ce que prétendent les internationalistes actuels, prendre conscience tout d’abord aussi profondément que possible, il s’agit de restaurer l’unité, supranationale plutôt qu’internationale, de l’ancienne chrétienté, unité détruite par les sectes multiples qui ont «déchiré la robe sans couture», puis de s’élever de à l’universalité, en réalisant le catholicisme au vrai sens de ce mot, au sens l’entendait également Wronski, pour qui ce catholicisme ne devait avoir une existence pleinement effective que lorsqu’il serait parvenu à intégrer les traditions contenues dans les livres sacrés de tous les peuples. Il est essentiel de remarquer que l’union telle que l’envisage Joseph de Maistre doit être accomplie avant tout dans l’ordre purement intellectuel ; c’est aussi ce que nous avons toujours affirmé pour notre part, car nous pensons qu’il ne peut y avoir de véritable entente entre les peuples, surtout entre ceux qui appartiennent à des civilisations différentes, que celle qui se fonderait sur des principes au sens propre de ce mot. Sans cette base strictement doctrinale, rien de solide ne pourra être édifié ; toutes les combinaisons politiques et économiques seront toujours impuissantes à cet égard, non moins que les considérations sentimentales , tandis que, si l’accord sur les principes est réalisé, l’entente dans tous les autres domaines devra en résulter nécessairement. » – René Guénon – « Un projet de Joseph de Maistre pour l’union des peuples » – Télécharger : Guénon Un projet de Joseph de Maîstre pour l’union des peuples – Guénon Un projet de Joseph de Maîstre pour l’union des peuplesJoseph de Maistre – 

« Le plus célèbre des vêtements de jésus demeure sans conteste la robe sans couture, que la vierge aurait tissée pour son fils, et que les évangiles décrivent comme ayant été tirée au sort par les soldats romains après la crucifixion (Jean, 19, 23-24). Certains récits légendaires racontent que marie la lui confectionna dès son plus jeune âge, qu’elle grandissait en même temps que lui et qu’il la conserva sans usure jusqu’au jour elle fut tirée au sort entre les soldats chargés de son supplice. – Selon la tradition de l’église orthodoxe géorgienne, le Chitôn aurait été acquis par un rabbin juif du nom de la Géorgie Elioz (Elias), qui était présent à Jérusalem au moment de la crucifixion et acheté la robe à un soldat. Il l’a emporté avec lui quand il est retourné dans sa ville natale de Mtskheta, en Géorgie, il est conservé jusqu’à ce jour sous une crypte de la cathédrale patriarcale de Svetitskhoveli. La fête en l’honneur du « Chitôn du seigneur » est célébrée le 1er octobre – extraits de http://fr.wikipedia.org/wiki/sainte_tunique_du_christhttps://saintorthodoxe.fr/2022/12/27/la-sainte-tunique-du-christ-1/