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Poésie

 » La Possibilité d’un Langage « Religieux » (de « Relegerer », qui Réunit) n’est pas l’Apanage d’une « Révélation » Dogmatique quelconque. Sa Fonction Référentielle ou Sémantique serait Analogue à Celle du Texte « Poétique » : l’Existence du  » Référent » serait anticipée, elle n’oblige pas le lecteur ou le spectateur à retracer l’Unité de Sens Présente chez son auteur, mais Tolère et surtout Appelle des Interprétations Diverses ; c’est aussi le Domaine de la Tradition Orale et du Langage Sacré. » – http://hautsgrades.over-blog.com/2015/05/la-recherche-de-la-parole-perdue.html par G∴ H∴ – Lien d’origine pouvant ne plus être plus accessible suivant aléas du WEB ! Ndlr

« La Poésie , c’est quelque chose qui nous redit… recrée le « UN ». » Réunion instruction Com∴ RL 813 – 27-03-6021.


« Antonin Artaud tient les propos suivants : «On n’explique pas le sublime, la poésie, la métaphysique, Dieu, par la psychologie, qui en est la réduction et la négation même, et parce qu’il est absurde, irrationnel, illogique d’expliquer l’Infini par le fini.» » – RL∴ 813 FF∴ Libres – Ori∴ Bez∴ – JP∴ DEL∴ – « Je marche sur le chemin… » – 2025 –

« Cette Conscience Lunaire, […] Liée à l’Eau, Induit une Démarche Intuitive hors de tout Raisonnement Discursif, si faible que ce soit. L’Intuition, la Création, l’Imagination et le Rêve, qui lui sont propres, sont autant d’Actes et Processus de Pensée, autant de pourvoyeurs de Connaissance que la Raison Raisonnante et la fabrication Conceptuelle. Ainsi, Poésies Inspirées, Mythes, Fables, Contes populaires Procèdent de Vérités trop Profondes pour être exposées en Langage direct, trop Diffuses pour que les Raisonneurs puissent les saisir. » […] « Si nous réussissons à Harmoniser ces Deux Consciences, Solaire et Lunaire, nous pouvons alors Espérer avoir accès à une Troisième Forme de Connaissance, Inspirée directement par l’Esprit. Un Troisième Œil en quelque sorte, seul Capable de s’absorber dans l’objet qu’il Contemple : C’est l’Œil de la Méditation, de l’Extase, de la Transe, d’une certaine Conscience Onirique, l’Œil du Poète, de l’Artiste, l’Œil qui Rassemble ce qui est Épars, qui Unifie. Lui seul peut nous mettre en Contact avec le Sens ultime des Symboles, avec la Parole Perdue et La Vérité qu’elle Exprime. Il est relié au Cœur Spirituel et les Larmes qu’il provoque ne sont plus celles des Douleurs de l’Ego. Mais Ceci est une Autre Histoire !  » – P14 -La Per∴ Lan∴- Ori∴ Mon∴ – Ala∴ MAS∴ « Les couleurs de l’atelier » – 6014 –

« Ce n’est pas l’idée de progrès que rejette Baudelaire mais la conception, née de la «fatuité moderne», d’un progrès général, quasi automatique, objet d’une sorte de messianisme et qui, ajoute-t-il « a déchargé chacun de son devoir, délivré toute âme de sa responsabilité ». C’est donc par exigence et non par pessimisme qu’il prononce ce réquisitoire, précisant d’ailleurs qu’il ne peut y avoir de progrès véritable que dans l’individu. Quant à son rejet de la morale en poésie, il ne l’incite pas à rejoindre les partisans de l’art pour l’art. Ce qu’il proclame au contraire, et de toutes ces forces, c’est la nécessité d’un «art par … aspiration humaine vers une beauté supérieure.» – Jean Claude Bousquet- Préface du livre « Charles Baudelaire, un Frère en idéal », un dialogue imaginaire entre le Poète et un Grand Initié. – Fabrice GLOCKNER 1998 – Citation Fraternité Languedocienne n° 73 – Page 27 – Septembre – 2025 –

« Du même coup, surgit la question de sa position (Celle de Baudelaire)  à l’égard du romantisme. Il lui doit beaucoup par l’élargissement des thèmes, par la place octroyée à la subjectivité, par la libération de l’imagination et de l’intuition, ouvrant la voie à ce que Baudelaire appelle l’insolite et dont il fait l’une des bases de sa poésie ; mais il ne s’en tient pas et son œuvre, d’une certaine façon, met en évidence la lacune principale du romantisme : n’avoir pas su inventer le langage qui pouvait seul correspondre aux ambitions nouvelles de la poésie. » – Jean Claude Bousquet- Préface du livre « Charles Baudelaire, un Frère en idéal », un dialogue imaginaire entre le Poète et un Grand Initié. – Fabrice GLOCKNER 1998 – Citation Fraternité Languedocienne n° 73 – Page 27 – Septembre – 2025 –