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« Bhagavad-gîta terme Sanskrit se Traduisant littéralement par « Chant du Bienheureux » ou « Chant du Seigneur » Est la Partie Centrale du Poème Epique Mahabharata (Aranyaka-parva, 25 – 42). Ce Texte Est un des Ecrits Fondamental de l’Hindouisme souvent considéré comme un « abrégé de toute la Doctrine Védique ». […] Ses Enseignements se rapportent au thème de la Conquête de Soi-même. » – wiki/Bhagavad-Gita – Télécharger la bhagavad-gita et les commentaires de Shrî Aurobindo – Saisie numérique par Rem∴ DIM∴-
« L’homme Doué, dont il est fait mention tout au long du Yiking, et pour l’usage duquel les préceptes du Yiking ont été formulés, constitue une expression spéciale aux races jaunes. Il serait facile, et d’autres l’ont fait, d’entasser des volumes de commentaires sur cette expression, pour en déterminer la valeur exacte. Ainsi trouve-t-on, en d’autres langues, les Initiés, les Mages, les Grands Prêtres, les Francs Juges, les Saints, les Bienheureux, les Mahatmas et d’autres termes encore. Tenons-nous, en ce qui concerne l’homme doué, à la définition simple et sage de la Tradition Chinoise. L’homme doué, dit-elle, est un terme de scolastique qui correspond à un état de perfectionnement inférieur à la perfection et supérieur à la sagesse. Sachons nous contenter, au moins au point de vue de l’expression, de cette définition élastique ; concevons, qu’il y a plusieurs stases dans l’état de l’homme doué ; et ne demandons qu’aux circonstances de nous dire, pour chaque cas particulier, à quelle étape, intellectuelle et psychique, l’homme doué est parvenu sur la route de la perfection. » – MATGIOI– la voie métaphysique – Chapitre IV –
« Le médium, le Cavalo à un certain point de la danse sent qu’il est pénétré par une entité supérieure et perd la conscience de soi. Il danse en tant que l’entité divinité ne l’a pas abandonné, et après il se sentira mieux, limpide et purifié… Les bienheureux, dit Amparo.[…] Certains Cavalos secouaient violemment le corps… » – Umberto ECO « Le pendule de Foucault » – Livre de poche avril 2021 – Page 290 à 294 –
« Un Dévot : Quel est ce Soi dans l’expérience présente ?
Râmana Mahârshi : C’est la lumière qui resplendit éternellement dans la grotte du cœur (guhya hridaya) entant que flamme de la conscience « je-Je » – l’éternel et bienheureux « sat-chit-ânanda ». Ceci est la réponse au Vichâra et à son accomplissement. Le « Je » qui a déterminé et amené une quête dans sa propre nature, a enfin trouvé qu’il n’était autre que le pur Mental, l’Être immaculé, reposant de toute éternité dans la bienheureuse félicité. C’est turîya, le quatrième « Etat » ou samâdhi l’état le plus haut. » – Râmana Mahârshi – La voie directe – Page 13 – Editions Accarias l’originel 09/2021 –