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Théosophie

Attention ci après : explication des centre Théosophique, en opposition à Individu donné ici pour questionnement en controverse –  Attention à la Théosophie : Voir Guénon… nombreux passage dans  » Tout Guénon en PDF  » – Télécharger : rene-guenon-tout guénon-v2

« Personnalité, L’un des noms donnés, en Théosophie et en Occultisme, à l’Ego supérieur de l’homme. Nous faisons une distinction entre l’Ego immortel et divin et l’ego mortel humain qui périt. Celui-ci, ou la « Personnalité » (l’ego personnel), ne survit à la mort du corps que pendant un temps limité en kâma loka ; pour sa part, l’Individualité demeure à jamais. » http://www.theosophie.fr/Web03/Clef/Glossaire-2.htm

 

« (Anthroposophie) Doctrine spiritualiste issue de la Théosophie . Le représentant principal en est Rudolf Steiner, qui fonda en 1913, la Ste Anthropomorphique Tandis que la Théosophie se réclame des traditions Indiennes l’Anthroposophie tente de se rattacher au christianisme. Mais comme la Théosophie, elle s’efforce de parvenir à une connaissance suprasensible en cultivant des forces psychiques latentes. Attention dénonciation de Guénon comme contre initiatique.  » (aperçus… et +). – Note Rémi ALCINA – Télécharger  :   rene-guenon-tout guénon-v2

« Ces diverses associations ne doivent pas être confondues avec une autre organisation rosicrucienne austro-allemande, de création plus récente, dont le chef est le Dr Rudolf Steiner ; nous aurons à en reparler dans la suite. D’ailleurs, à vrai dire, le Rosicrucianisme n’a plus, à notre époque, une signification bien définie : une foule de gens qui s’intitulent «Rose-Croix» ou «Rosicruciens» n’ont aucun lien entre eux, non plus qu’avec les anciennes organisations du même nom, et il en est exactement de même de ceux qui s’intitulent «Templiers ». Sans même tenir compte des grades maçonniques qui, dans divers rites, portent le titre de Rose-Croix ou quelque autre qui en est dérivé, nous pourrions donner, si ce n’était en dehors de notre sujet, une longue liste de sociétés plus ou moins secrètes qui n’ont guère de commun que cette même dénomination, accompagnée le plus souvent d’une ou de plusieurs épithètes distinctives. Aussi faut-il toujours bien prendre garde, lorsqu’il s’agit du Rosicrucianisme, comme d’ailleurs lorsqu’il s’agit de la Maçonnerie, de ne pas attribuer à un groupement ce qui appartient à un autre qui peut lui être tout à fait étranger. » – René Guenon – « Le Théosophisme : Histoire d’une pseudo-religion– La société théosophique et le rosicrucianisme – page 1568 – dans  « tout-guenon en Pdf  » – Télécharger : tout-guenon V2 –

« Il y eut pourtant, à Paris, une suite au «Parlement des religions» de Chicago ; mais c’est seulement en 1913 qu’elle eût lieu, sous le nom de «Congrès du Progrès religieux», et sous la présidence de M.Boutroux, dont les idées philosophiques ont bien aussi quelque parenté avec les tendances «néospiritualistes», quoique d’une façon beaucoup moins marquée que celles de M. Bergson. Ce congrès fut presque entièrement protestant, et surtout «protestant libéral» ; mais l’influence germanique y eut la prépondérance sur l’influence anglo-saxonne : aussi les théosophistes fidèles à la direction de Mme Besant n’y furent ils pas conviés, tandis que l’on y entendit M. Édouard Schuré, représentant de l’organisation dissidente du Dr Rudolf Steiner, dont nous aurons à parler dans la suite. » – René Guenon – « Le Théosophisme : Histoire d’une pseudo-religion– La société théosophique et le rosicrucianisme – page 1625 – dans  « tout-guenon en Pdf  » – Télécharger : tout-guenon V2 –

« Dans l’affaire dont nous allons parler maintenant, ce n’est plus Pythagore ou Koot Hoomi qu’il s’agissait de manifester, sans doute à titre de « précurseur », mais bien le Bodhisattwa Maitreya lui-même ; et le jeune homme qu’on élevait à cet effet n’était plus un Anglais, mais un Hindou, Krishnamurti, dont Mme Besant s’était instituée la tutrice, ainsi que de son frère Nityânanda, qui devait avoir aussi quelque mission accessoire à remplir ; on les désignait habituellement par les pseudonymes astronomiques d’ Alcyone et de Mizar. » – René Guenon – « Le Théosophisme : Histoire d’une pseudo-religion – Les tribulations d’ Alcyone – page 1638 – dans  « tout-guenon en Pdf  » – Télécharger : tout-guenon V2 –

« Si un mouvement doit être jugé par ses coryphées et si Leadbeater est un coryphée du théosophisme, alors le théosophisme, pour les profanes, n’est qu’une énigme tenant le milieu entre des indécences scabreuses et des prétentions audacieuses, entre un enseignement repoussant et une incroyable présomption. » – René Guenon – « Le Théosophisme : Histoire d’une pseudo-religion – Les tribulations d’Alcyone – page 1640 – dans  « tout-guenon en Pdf  » – Télécharger : tout-guenon V2 –


« Ces histoires plus ou moins scandaleuses ne furent pas sans susciter des troubles au sein même de la Société Théosophique : la scission la plus retentissante fut celle du «Rosicrucien» Rudolf Steiner, qui entraîné la plupart des groupements d’Allemagne, de Suisse et d’Italie, plus un certain nombre d’autres répandus un peu partout, et qui forma avec ces éléments une nouvelle organisation indépendante, à laquelle il donna le nom de «Société Anthroposophique». » – René Guenon – « Le Théosophisme : Histoire d’une pseudo-religion – Les tribulations d’Alcyone – page 1641 – dans  « tout-guenon en Pdf  » – Télécharger : tout-guenon V2 –

« Nous avons dit que Steiner donna à sa nouvelle organisation le nom de « Société Anthroposophique », avec une intention manifeste de concurrence à l’égard de la Société Théosophique, aussi bien que pour caractériser sa conception propre, qui fait en effet de l’homme le centre de ce qu’il appelle la « science spirituelle ». Il faut ajouter, du reste, que le mot d’« anthroposophie » n’est pas, comme on pourrait le croire, un néologisme imaginé par Steiner, car un ouvrage du Rosicrucien Eugenius Philalethes ou Thomas Vaughan, qui date de 1650, a pour titre Anthroposophia Magica. » – René Guenon – « Le Théosophisme : Histoire d’une pseudo-religion – L’anthroposophie de Rudolf Steiner – page 1643 – dans  « tout-guenon en Pdf  » – Télécharger : tout-guenon V2 –

« Ainsi, les religions sont mises ici sur le même rang que les simples conceptions philosophiques et traitées comme des faits purement humains, ce qui est bien un point de vue «anthroposophique», ou même «anthropologique» » – René Guenon – « Le Théosophisme : Histoire d’une pseudo-religion – L’anthroposophie de Rudolf Steiner – page 1644 – dans  « tout-guenon en Pdf  » – Télécharger : tout-guenon V2 –

« Pour connaître un peu le fond de la pensée de Steiner, c’est plutôt à ses ouvrages qu’il faut s’adresser, et l’on voit alors que, si sa doctrine peut, sous un certain aspect, être regardée comme une sorte de «Christianisme ésotérique», c’est encore dans un sens qui ne diffère pas très sensiblement de ce que l’on rencontre sous ce nom chez les autres théosophistes… » – René Guenon – « Le Théosophisme : Histoire d’une pseudo-religion – L’anthroposophie de Rudolf Steiner – page 1645 – dans  « tout-guenon en Pdf  » – Télécharger : tout-guenon V2 –

« …aussi ces conceptions n’ont-elles que fort peu de rapports avec le Rosicrucianisme authentique, et même ce qui y est présenté plus spécialement comme «terminologie rosicrucienne», ce sont presque toujours des expressions inventées par Mme Blavatsky. À un autre point de vue aussi, il y a, dans la réserve que garde Steiner, la preuve d’une certaine habileté, car on a toujours dit que les vrais Rose-Croix ne se proclamaient jamais tels, mais tenaient au contraire cette qualité cachée ; c’est sans doute une des raisons pour lesquelles Steiner évite de dire expressément, dans ses publications, qu’il se rattache au Rosicrucianisme, ce qui n’empêche qu’il le donne du moins à entendre et qu’il serait sûrement fort affligé qu’on ne le crût point. » – René Guenon – « Le Théosophisme : Histoire d’une pseudo-religion – L’anthroposophie de Rudolf Steiner – page 1645 – dans  « tout-guenon en Pdf  » – Télécharger : tout-guenon V2 –

« Heindel, qui a constitué de son côté une «Rosicrucian Fellowship» ayant son siège à Oceanside (Californie), a écrit dans un autre ouvrage, publié en 1916, que le premier messager qui avait été choisi et instruit par les Frères de la Rose-Croix pour répandre leurs enseignements échoua dans certaines épreuves, de sorte qu’il fallut en chercher un second, qui n’est autre que Heindel lui-même; et, bien que le premier ne soit pas nommé, il est certain que c’est de Steiner qu’il s’agit. » – René Guenon – « Le Théosophisme : Histoire d’une pseudo-religion – L’anthroposophie de Rudolf Steiner – page 1645 – dans  « tout-guenon en Pdf  » – Télécharger : tout-guenon V2 –

« D’un autre côté, Steiner voulut réaliser une idée très analogue à celle du monastère théosophique de Franz Hartmann : il fit construire à Dornach, près de Bâle, un temple « les fervents de la science de l’esprit pourraient s’assembler, s’instruire et s’édifier dans un lieu préparé pour eux.». La description en est trop curieuse pour que nous n’en reproduisions pas quelques extraits : « L’édifice reflète bien la doctrine exposée par M. Steiner dans un grand nombre d’ouvrages et de conférences. Deux vastes coupoles s’élèvent sur la colline dominant un cirque boisé, couronné de vieilles ruines… Une des coupoles, plus grande que l’autre, symbolise l’Univers avec ses harmonies et les stades successifs de son évolution. » – René Guenon – « Le Théosophisme : Histoire d’une pseudo-religion – L’anthroposophie de Rudolf Steiner – page 1647 – dans  « tout-guenon en Pdf  » – Télécharger : tout-guenon V2 –