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« L’Inde véritable, c’est celle qui demeure toujours fidèle à l’enseignement que son élite se transmet à travers les siècles, c’est celle qui conserve intégralement le dépôt d’une tradition dont la source remonte plus haut et plus loin que l’humanité ; c’est l’Inde de Manu et des Rishis, l’Inde de Shri Râma et de Shri Krishna….Par la chaîne ininterrompue de ses Sages, de ses Gurus et de ses Yogis, elle subsiste à travers toutes les vicissitudes du monde extérieur, inébranlable comme le Mêru ; elle durera autant que le Sanâtana Dharma (qu’on pourrait traduire par Lex perennis, aussi exactement que le permet une langue occidentale), et jamais elle ne cessera de contempler toutes choses, par l’ oeil frontal de Shiva, dans la sereine immutabilité de l’éternel présent. Tous les efforts hostiles se briseront finalement contre la seule force de la vérité, comme les nuages se dissipent devant le soleil, même s’ils sont parvenus à l’obscurcir momentanément à nos regards. L’action destructrice du temps ne laisse subsister que ce qui est supérieur au temps : elle dévorera tous ceux qui ont borné leur horizon au monde du changement et placé toute réalité dans le devenir, ceux qui se sont fait une religion du contingent et du transitoire, car « celui qui sacrifie à un dieu deviendra la nourriture de ce dieu » ; mais que pourrait-elle contre ceux qui portent en eux-mêmes la conscience de l’éternité ? » – René Guenon – « ÉTUDES SUR L’HINDOUISME – L’esprit de l’Inde – Page 614 note bas de page 4 – de « Tout Guenon et son tuto » – Télécharger : rene-guenon-tout guénon-v2–
« Qui garde la Foi donnée, qui remplit ses engagements, celui dont les affections ne changent pas. » – Média Dico –
» A propos du Mythe – Cette Image Traditionnelle, que l’on doit, comme beaucoup d’autres, faire remonter au Temps où « Caverne » et « Habitation » étaient Une seule et Même chose, est sous-entendue dans les Symboles familiers de la Mine et de la Recherche du Trésor Enfoui (MU., VI, 29, etc.). Les Pouvoirs de l’Âme (Bhutâni, terme Qui Signifie également « Gnômes») au Travail dans la Montagne-esprit, sont les Prototypes des Nains Mineurs Qui Protègent la « Blanche-Neige » – Psyché – quand elle a mordu dans le Fruit du Bien et du Mal et Tombe dans son Sommeil de Mort, où elle Demeure jusqu’à ce que l’Éros Divin la Réveille, et que le Fruit Tombe de ses Lèvres. Qui a jamais Compris le Mythe Scripturaire en Reconnaitra les Paraphrases dans tous les Contes de Fées du Monde, Qui n’ont pas été Créés par le « Peuple », mais Hérités et Fidèlement Transmis par Lui à Ceux à Qui ils étaient Originellement Destinés. L’Une des Erreurs Majeures de l’Analyse Historique et Rationnelle est de Supposer que la « Vérité » et la « Forme Originale » d’une Légende peuvent être séparés de ses Éléments Miraculeux. C’est dans le Merveilleux Même que Réside la Vérité. « Ainsi l’Amoureux des Mythes, qui sont des concentrés de Prodiges, est du Même coup un Amoureux de Sagesse ». Le Mythe Incarne la plus haute Approximation de la Vérité Absolue Qui puisse se traduire en Paroles. » – « Hindouisme et Bouddhisme » de A. K. Coomaraswamy –
« Dans Le Figaro du 22 janvier 1951, André Rousseaux intitulait son article « Le dernier jour de René Guénon », rappelant ce que le Philosophe déclara à ses proches en ses derniers moments : « Soyez sans Crainte, je ne vous quitterai pas ; vous ne me verrez plus, mais je serai Là, et moi, je vous verrai. » En cette déclaration René Guénon rejoignait la Tradition Universelle ; le Judaïsme avec l’Évocation Posthume du Prophète Samuel par la Sorcière d’En-Dor à la demande du Roi Saül (I Samuel, XXVIII, 7), et les nombreuses Condamnations prononcées dans le Pentateuque contre ces Évocations. Le Christianisme démontre que l’Invisible est aussi le Monde des Morts avec Toutes les Apparitions de Jésus à ses Disciples. Et l’Hindouisme nous le précise avec ses Traditions sur les Pitris (Défunts), Âmes Désincarnées en Quête d’une nouvelle Incarnation Karmique. Enfin l’Islam confirme, avec Tout ce qu’en dit le Coran en ses Sourates concernant le Sort Posthume des Fidèles des Diverses Religions : Islamique, Juive, Chrétienne, Sabéenne. » – Robert AMBELAIN – « Les arcanes noires de l’Hitlérisme » – P48 – Edition Robert Laffont 1990 –
» La Notarika, fait appel aux Acrostiches, ou abréviations. C’est ainsi que dans un Mot, il peut y avoir Toute une phrase de camouflée. Exemple : Amen est la Notarika de : Adonaï Melekh Naman (Dieu Roi Fidèle) ! » – http://portes-inconnu.pagesperso-orange.fr/grimoire/kabbale.htm –
« …et Il ne semble pas soupçonner le Symbolisme de la Croix (p. 393), pas plus qu’il ne parait avoir bien Compris la Signification Traditionnelle du Cœur (pp. 153-154), se rapportant à l’Intellect et non au Sentiment. Disons, sur ce dernier point, que le » Cuore gentile » des « Fidèles d’Amour » est le Cœur Purifié c’est-à dire Vide de tout ce qui concerne les objets Extérieurs, et par là même rendu apte à Recevoir l’Illumination Intérieure ; ce qui est remarquable, c’est qu’on trouve une Doctrine Identique dans le Taôisme. » – René Guenon – « Aperçus sur l’ésotérisme chrétien – Le langage secret de Dante et des «Fidèles d’Amour» – Page 55 – de Tout Guenon en PDF – Télécharger : rene-guenon-tout guénon-v2 – René Guénon – Cahiers Sagesse Flandres N°14 Guénon II- article -meta-orien-reti-cjhré-eso dante –
« Disons, sur ce dernier point, que le cuore gentile des « Fidèles d’Amour » est le cœur purifié, c’est-à-dire vide de tout ce qui concerne les objets extérieurs, et par là même rendu apte à recevoir l’illumination intérieure ; ce qui est remarquable, c’est qu’on trouve une doctrine identique dans le Taoïsme. » – René Guenon – « APERÇUS SUR L’ESOTERISME CHRETIEN – Le langage secret de Dante et des «Fidèles d’Amour» – Page 55 – Télécharger: rene-guenon-tout guénon-v2 –