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Puissance – 2 –

« Ces Deux Épées, Symbole de la Puissance et de la Sagesse de ces Deux Rois ne sont pas au Fourreau c’est-à-dire remisées dans les Ténèbres de l’Ignorance. Ces Deux Épées sont l’Image d’un Caractère bien trempé, Capable de Traverser toutes les situations. Le Fourreau dont on ne parle pas, puisque les Épées sont Nues, c’est un Segment de Vide sur lequel la Matière n’a pas de prise et la Lame de l’Épée qui par Homophonie est l’Âme (Lame, Lam) de Celui Qui la porte est à Nu devant nos Yeux. Ces Deux Épées sont un Symbole associé à l’Idée de Lumière, de luminosité donc à la Connaissance. Elles sont Visibles et Déposées aux Yeux de tous Symbolisant l’État de Paix auquel conduit la Connaissance.  » – http://emsomipy.free.fr/Articles/Articlessog2%20=%20NON/ArtNice205.03-GradesIntermediaires.htm

« Enfin, Il y a Une Vingt-deuxième Carte sans Numéro comme sans Puissance, mais Qui Augmente la Valeur de Celle Qui la précède ; c’est le Zéro des Calculs Magiques : on l’appelle la Folie.  » – Court de Gébelin, Antoine: Monde primitif, – analysé et comparé avec le monde moderne – vol. 8, tom. 1, Paris 1781 – Livre de Thot –

« Thot Est considéré comme ayant Peint les Dieux, c’est-à-dire, les Actes de la Toute-Puissance, ou la Création, à laquelle Il joignit des Préceptes de Morale.  » – Court de Gébelin, Antoine: Monde primitif, – analysé et comparé avec le monde moderne – vol. 8, tom. 1, Paris 1781 – Livre de Thot –

« Le Diable ou Typhon, Dernière Carte de la Première Série, vient Troubler l’Innocence de l’Homme & Terminer l’Âge d’Or. Sa Queue, ses Cornes & ses longues Oreilles l’annoncent comme Un Être Dégradé : son Bras Gauche Levé, le Genou Déplié, Formant Une « N », Symbole des Êtres Produits, Nous le fait Connoître comme ayant été Créé ; mais le Flambeau de Prométhée qu’Il Tient de la Main Droite, Paraît compléter la Lettre « M », Qui Exprime la Génération : en effet, l’Histoire de Typhon Nous Induit Naturellement à cette Explication ; car, en privant Osiris de sa Virilité, Il Paroît que Typhon Vouloit empiéter sur les Droits de la Puissance Productrice ; aussi fut-Il le Père des Maux Qui se répandirent sur la Terre.  » – Court de Gébelin, Antoine: Monde primitif, – analysé et comparé avec le monde moderne – vol. 8, tom. 1, Paris 1781 – Livre de Thot –

« Le Mythe de Tantale montre que ce dernier Risque n’épargne Personne, pas même ceux qui disposent d’un élan assez Puissant et Sincère pour Atteindre une élévation Réelle : Contrairement à Icare, à qui la seule approche de la région Sublime fut Fatale, Tantale y Parvient et s’y installe. Mais son Exaltation le conduit à Vouloir Devenir l’égal des Dieux. Pour Devenir un Pur Esprit, Il Dédaigne alors tout Désirs Corporels. Dans son analyse du Mythe, Paul Diel remarque cependant que le Dédain n’est que la Forme Négative de l’Exaltation des Désirs, Révélant une Liaison Obsessionnelle avec son Objet, car les Désirs Corporels Sublimés, et non pas Inhibés, sont dépourvus de Force Exaltante, Cessant d’être Attirants aussi bien que Repoussant. Sa Vanité conduit ainsi Tantale à Tuer son Fils Pélops et à le Servir à la Table des Dieux qu’il entend Abuser. Le Fils de l’Homme, Ici Pélops, (dans le Mythe de Tantale) Représente les Désirs Corporels : c’est donc leur Refoulement Vaniteux (le Meurtre du Fils) que Tantale Offre aux Dieux, les Tenant pour des Qualités Sublimes. Mais à la Vérité, Il Mortifie la Chair sans Sacrifier l’Esprit Pervers en Lui, ce dont les Dieux ne sont pas Dupes : Zeus Ressuscite Pélops et Précipite Tantale dans le Tartare.  » – P14 -La Per∴ Lan∴- Ori∴ Mon∴ – Pie∴ ALF∴ « Humilité et Courage : deux atouts sur le chemin de la vérité » – 6010 –

« En échange de la Garantie que donne à leur Puissance l’Autorité Spirituelle, les Kshatriyas Doivent, à l’Aide de la Force dont ils Disposent, Assurer aux Brahmanes le moyen d’accomplir en Paix, à l’Abri du Trouble Et de l’Agitation, leur Propre Fonction de Connaissance Et d’Enseignement ; c’est Ce que le Symbolisme Hindou Représente sous la Figure de Skanda, le Seigneur de la Guerre, protégeant la Méditation de Ganêsha, le Seigneur de la Connaissance . Il y a Lieu de noter que la Même Chose était Enseignée, Même Extérieurement, au Moyen-âge Occidental ; en effet, Saint Thomas d’Aquin déclare expressément que Toutes les Fonctions Humaines sont Subordonnés à la Contemplation comme à Une Fin Supérieure, «de sorte que, à les considérer comme Il faut, Toutes semblent au Service de Ceux Qui Contemplent la Vérité», Et que le Gouvernement Tout entier de la Vie Civile a, au fond, pour Véritable Raison d’Être d’assurer la Paix Nécessaire à cette Contemplation. » – René Guenon – AUTORITE SPIRITUELLE ET POUVOIR TEMPORELDépendance de la royauté à l’égard du sacerdoce – page 268 de Tout guenon – Télécharger : Tout Guénon et son tutoriel en PDF – rene-guenon-tout guénon-v2

« … J’entends cette Forme Particulière Qui Pousse l’Homme à Réaliser Toute sa Puissance dans l’Action le porte la Joie et la Certitude […] il Signifie cette Force de Propulsion Qui Émane et se Propage du Cœur, et dont l’Homme a Essentiellement Besoin pour Accomplir la Courbe de cet Acte Magnifique Qui s’appelle Vivre. car Vivre, c’est avoir la Foi. Est Vivant Celui Qui Pratique l’Absence Totale de Doute ; comme la Plante, comme l’Animal. Hors de cette Foi, c’est Fini, […] on Crève !  » – « La réponse du seigneur » – Alphonse de Chateaubriant – Editions Bernard Grasset 1933 – Page129 –

« Un Maître Doit se Dominer entièrement Et sans Effort. Platon Enseignait que Tout Est Hiérarchie dans l’Être Humain : la Tête Domine le Cœur Et Lui Doit Dominer le Ventre, Symbole de Tous les Appétits Terrestres Et de Toutes les Passions Inférieures. Être sans Désir Est le Grand Secret du Maître, Qui Peut, par la Puissance de sa Volonté, Triompher de Toutes les Faiblesses. C’est pour cela que, dans son Signe Pénal, le Maître se Coupe le Ventre.  » – Ori∴ Mon∴ – 3° journée Cambacérès – 6015 – Thi∴ SFE∴ « Bandeaux, voiles et rayonnement : des Ténèbres à la Lumière » – Passage de l’exode

« Il Est Certain que la Maçonnerie n’est pas sous le Signe de l’Attribut de Sainteté, par exemple ; Elle Reflète, comme vous l’apprennent les Trois Grands «Piliers» de la Loge, les Attributs de Sagesse, de Force et de Beauté, avec un accent particulier sur la Force, que je Traduirais en disant que l’Influence Spirituelle propre à la Maçonnerie Est une Puissance Connaissante et Génératrice d’Harmonie.  » – Jean REYOR – Lettre à un jeune Maître Maçon – Télécharger : jean-reyor-lettre-maître-macon

Voir : Faveur – Grades – Septénaire d’Attributs Divins –