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« La Couleur Bleue… est la plus Profonde des Couleurs, le Regard s’y Perd à l’Infini. Il en est ainsi pour le Bleu du Ciel, de l’Eau. Il est associé à l’Idée de Transparence. En Transposant au Plan Métaphysique, le Bleu n’est pas de ce Monde, Il suggère l’Idée d’éternité, hors des Choses Humaines. Le Bleu… associé au Blanc… Forme de ce fait un Symbole associatif. Le Bleu et le Blanc sont des Couleurs Mariales, elles Expriment la Pureté par le Détachement de Valeurs de ce Monde. Il s’agit Ici du Blanc de l’Hermine ; ce Carnassier au Poil Blanc Immaculé dont la Robe Symbolise la Pureté dans la Conduite, dans l’Enseignement et la Justice, la Pureté Morale. » – http://emsomipy.free.fr/Articles/Articlessog2%20=%20NON/ArtNice205.03-GradesIntermediaires.htm –
« Licorne, Symbole de Pureté et Emblème du Christ, elle Est à mettre en Liaison avec les Symboles de l’Église et de Rome…. » – Palais des Papes – Avignon- 2015 – » la chambre du Cerf » -Télécharger : licorne dame a la –
« Je me Permets encore une Question : en quel Sens Précis prenez-vous le Mot “Mystère” ? S’il veut dire pour vous « l’Inexprimable”, Ce Qui Est d’ailleurs son Acception Primitive et Etymologique, je Puis Parfaitement l’employer aussi de la même Façon. Par contre, si vous Admettez la Signification Courante « d’Inintelligible ou d’Inconnaissable”, je suis obligé de la Rejeter, car l’Inintelligible ne Peut être que l’Absurde, c’est-à-dire l’Impossible ou le Pur Néant. Métaphysiquement, il n’y a pas d’Inconnaissable ; il faut laisser cela à Kant (avec son “Noumène”) et à Spencer, ou, plus généralement, aux Pseudo-Métaphysiciens et aux Positivistes, Qui, pour une fois, se trouvent d’accord là-dessus. Il est Vrai que c’est bien commode pour eux tous, si chacun peut Décréter “Inconnaissable” Tout Ce Qui Lui Est Inconnu, et Appeler “Mystère” Tout Ce Qu’Il ne Comprend pas ! » – René GUENON – « Tout Guenon » P/488 – CORRESPONDANCES – Correspondance avec Noële Maurice-Denis Boulet – Télécharger : Tout Guénon et son tutoriel en PDF – rene-guenon-tout guénon-v2 – rene-guenon-correspondance avec Noële Maurice-Denis Boulet, non publié, 1917-1923 –
« René Guénon s’est Opposé d’avance, Et depuis longtemps, à Une telle déformation de sa Pensée. En 1925, dans sa conférence sur La Métaphysique Orientale, Guénon faisait Une déclaration Qui ne laisse place à aucune équivoque. Après avoir parlé de la «Métaphysique Partielle» d’Aristote Et de ses continuateurs, Il disait : «Nous avons, pour notre part, la Certitude qu’Il y a eu Autre Chose que cela en Occident, dans l’Antiquité Et au Moyen âge, qu’Il y a eu, à l’usage d’Une Élite, des Doctrines Purement Métaphysiques Et que Nous pouvons dire Complètes, y Compris cette Réalisation Qui, pour la Plupart des Modernes , Est sans Doute Une Chose à peine Concevable » – René Guenon – « Aperçus sur l’ésotérisme chrétien – Avant-propos » – Page 37 de Tout Guenon en PDF – Télécharger : rene-guenon-tout guénon-v2
« Le Mythe de Tantale montre que ce dernier Risque n’épargne Personne, pas même ceux qui disposent d’un élan assez Puissant et Sincère pour Atteindre une élévation Réelle : Contrairement à Icare, à qui la seule approche de la région Sublime fut Fatale, Tantale y Parvient et s’y installe. Mais son Exaltation le conduit à Vouloir Devenir l’égal des Dieux. Pour Devenir un Pur Esprit, Il Dédaigne alors tout Désirs Corporels. Dans son analyse du Mythe, Paul Diel remarque cependant que le Dédain n’est que la Forme Négative de l’Exaltation des Désirs, Révélant une Liaison Obsessionnelle avec son Objet, car les Désirs Corporels Sublimés, et non pas Inhibés, sont dépourvus de Force Exaltante, Cessant d’être Attirants aussi bien que Repoussant. Sa Vanité conduit ainsi Tantale à Tuer son Fils Pélops et à le Servir à la Table des Dieux qu’il entend Abuser. Le Fils de l’Homme, Ici Pélops, (dans le Mythe de Tantale) Représente les Désirs Corporels : c’est donc leur Refoulement Vaniteux (le Meurtre du Fils) que Tantale Offre aux Dieux, les Tenant pour des Qualités Sublimes. Mais à la Vérité, Il Mortifie la Chair sans Sacrifier l’Esprit Pervers en Lui, ce dont les Dieux ne sont pas Dupes : Zeus Ressuscite Pélops et Précipite Tantale dans le Tartare. » – P14 -La Per∴ Lan∴- Ori∴ Mon∴ – Pie∴ ALF∴ « Humilité et Courage : deux atouts sur le chemin de la vérité » – 6010 –
« La Chrysocolle Pierre Calme et Utile, très Positive, renforce l’Amitié, détournant les Influences Négatives. Facilite Méditation, Communication. Aide à Accepter les situations Compliquées, […] Force Intérieure. […] Confiance en Soi. […] Purifie, charge les Chakras.[…] encourage : Conscience de Soi, équilibre Intérieur. […] Joie Grâce à son Pouvoir d’absorber les émotions Négatives ; […] Diminue les Tensions. » – http://www.bijouxetmineraux.com/?page=141–
« Briller n’est pas Rayonner Et Parler Avec son Cœur n’est pas Ridicule car Cela Donne Envie à des Âmes Pures Et Sincères de Poursuivre leur Quête en votre Compagnie. » – RL∴ 1407 – Zenith – Ori∴ Bez∴ – JP∴ ROU∴ – « A la recherche de la vérité » – 6015 –
« On Attribue à Xénocrate la Division de la Philosophie en Logique, Physique et Morale ou Éthique Comme Speusippe, c’est un Platonicien Pythagorisant, qui s’appuie surtout sur l’Enseignement Oral de Platon ; il Distingue Trois sortes d’Essences, auxquelles il fait Correspondre Trois Types de Connaissances :
- 1. Hors du Ciel, l’Intelligible ou les Idées Connues par l’Intellection Pure ;
- 2. L’Opinable, ce qui est Connu par l’Opinion (Doxa) ;
- 3. Dans le Ciel, les Objets Sensibles, Connus par les Sens.
Il pose Deux Principes, l’Un et la Dyade, Irréductibles. Dieu est la Monade, l’Âme du Monde est la Dyade. À la Différence de Speusippe, qui remplaça les Idées par les Nombres Mathématiques, Xénocrate les Assimila aux Nombres : les Idées sont les Nombres ; alors que Speusippe Refusait de voir le Bien dans l’Un (comme Platon) parce que cela aurait obligé à voir le Mal dans le Multiple, Xénocrate pense que tous les Êtres, dans la mesure où ils Participent de l’Un et du Multiple, ont quelque chose à voir avec le Mal. Le premier parmi les Platoniciens, il fait Correspondre la Ligne à Deux (la Dyade), comme Speusippe faisait Correspondre le Point à Un. Pour Platon, le Principe Formel des Grandeurs est la Ligne Insécable, pour Speusippe c’est le Point, pour Xénocrate, ce sont les Nombres mêmes : la Dyade pour les Longueurs, la Triade pour les Surfaces, la Tétrade pour les Solides. » – https://fr.wikipedia.org/wiki/X%C3%A9nocrate –
« Ainsi, quand Aristote envisageait la Métaphysique comme la Connaissance de l’Être en tant qu’Être, il l’identifiait à l’Ontologie, c’est-à-dire qu’il prenait la Partie pour le Tout. Pour la Métaphysique Orientale, l’Être Pur n’est pas le Premier ni le plus Universel des Principes, car il est déjà une Détermination ; il faut donc aller Au-delà de l’Être, et c’est même Cela ce Qui Importe le plus. C’est Pourquoi, en Toute Conception Vraiment Métaphysique, il faut Toujours Réserver la Part de l’Inexprimable ; et même Tout ce qu’on peut Exprimer n’est Littéralement Rien au regard de ce Qui Dépasse Toute Expression, comme le Fini, quelle que soit sa Grandeur , est Nul vis-à-vis de l’Infini. » – René Guenon – La métaphysique Orientale – Page 6 – Télécharger « rene-guenon-la metaphysique-orientale-René GUENON en PDF – 13 p. vite lues et édifiantes – Note Rémi ALCINA –
« Comment se fait-il qu’Aristote lui-même et ses continuateurs n’aient pas mieux vu Tout ce qui y était Impliqué ? Il est Vrai qu’il en est de même en bien d’autres cas, et qu’ils paraissent Oublier parfois des choses aussi Essentielles que la Distinction de l’Intellect Pur et de la Raison, après les avoir cependant formulées non moins explicitement ; ce sont là d’étranges Lacunes. » – René Guenon – La métaphysique Orientale – Page 7 – Télécharger « rene-guenon-la metaphysique-orientale-René GUENON en PDF – 13 p. vite lues et édifiantes – Note Rémi ALCINA –
Voir : Djihad – Doctrine – Dogmata – Emounah –